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Par catherinebabou dans MES POEMES le 3 Février 2016 à 11:12...loin du rivage, votre peur fut telle d'inventer un visage qu'ainsi vous vous figiez sans rien comprendre à rien, puis l'illusion aidant vous cédiez lentement à l'attrait envoûtant d'une curieuse voix : - flânons sous les grands arbres personne ne nous verra. Il faut...